Optimiser vos textes pour le SEO ? Pas si technique que ça !

Vous avez déjà passé des heures à écrire un article, relu vingt fois chaque phrase, ajouté de jolies photos, cliqué fièrement sur “Publier”... et puis, rien. Pas une visite. Pas un commentaire. Pas même un spam. Le néant. Et là, vous vous êtes dit : “Mais pourquoi personne ne lit mon article ? Il est bien pourtant !”

C’est exactement à ce moment-là que trois lettres entrent en scène : S.E.O. Trois petites lettres qui font trembler les rédacteurs débutants, soupirer les marketeurs et jubiler les agences spécialisées. On l’imagine souvent comme un langage obscur réservé aux initiés, truffé de mots barbares comme “balises meta”, “backlinks” ou “intention de recherche”. Pourtant, le SEO, c’est avant tout du bon sens, de la structure… et une bonne dose d’humanité.

Parce qu’au fond, Google n’est pas si différent de votre lecteur : il aime les textes clairs, bien écrits et utiles. Il récompense ceux qui prennent le temps d’apporter de la valeur, de répondre à de vraies questions et de soigner la lecture. Et surtout, il reconnaît les sites qui parlent à des humains avant de parler aux robots.

L’idée de cet article n’est donc pas de vous enseigner le référencement “comme un cours d’ingénierie”, mais de vous montrer qu’écrire pour le web peut rester créatif, naturel et agréable — tout en étant visible. Pas besoin d’être un expert en code, ni de connaître par cœur le fonctionnement des algorithmes de Google. Il suffit d’apprendre à penser comme un lecteur, et un peu comme un moteur de recherche.

Alors, que vous soyez rédacteur, entrepreneur, créateur de contenu ou simplement curieux de comprendre pourquoi certains articles explosent sur Google pendant que d’autres sombrent dans l’oubli, prenez un café et installez-vous confortablement. Dans les prochaines lignes, on va voir ensemble comment transformer vos textes en contenus performants, visibles et engageants — sans perdre votre style, ni votre authenticité.

Comment rédiger du contenu optimisé SEO ?

Qu'est-ce que le contenu optimisé SEO ?

Le SEO est un terme anglais (Search Engine Optimization) qui définit des méthodes d'optimisation pour les moteurs de recherche tels que Google par exemple. Si votre site n'est pas connu et qu'il n'a aucun visiteur, vous n'en tirez aucun bénéfices. L'objectif du SEO est donc de permettre à votre site de se faire connaître sur le web et d'ainsi augmenter votre trafic.

Le référencement naturel est absolument primordial pour votre site internet pour la simple et bonne raison que 90% des internautes qui effectuent une recherche sur Google ne vont pas au-delà de la première page, et 60% d'entre eux cliquent sur les 3 premiers sites en haut de page. Cela signifie que si votre site n'est pas sur la première page de recherche Google, vous perdez potentiellement 90% des internautes qui pourraient vous trouver sur le web.

On n’a de cesse de vous le répéter et de vous le rabâcher, en SEO le contenu est ROI (Return On Investment pour le petit jeu de mots avec roi..). Le contenu fait partie du marketing de contenu (allez voir notre article sur la stratégie de contenu).

Votre contenu doit respecter trois grandes règles : il doit être unique, de qualité, et surtout apporter une valeur ajoutée.

Comprendre le SEO sans se noyer dans le jargon

Avant de plonger dans les astuces concrètes, prenons un instant pour poser les bases. Parce qu’entre les acronymes (SEO, SEA, SMO, SEM…) et les théories qui s’empilent sur le web, on finit parfois par confondre optimisation et magie noire.

SEO, SEA, marketing de contenu : trois cousins complémentaires

Le SEO (Search Engine Optimization), c’est l’art d’optimiser votre contenu pour apparaître naturellement dans les résultats de recherche. Autrement dit : faire en sorte que Google vous aime… sans payer pour ça. Le SEA (Search Engine Advertising), c’est son cousin pressé : ici, vous payez Google pour être en haut de la page, grâce à des annonces sponsorisées. Cela permet des résultats rapides, mais dès que vous arrêtez de payer, pouf, vous disparaissez. Et enfin, le marketing de contenu, c’est le ciment qui relie tout ça : créer des articles, vidéos, fiches produits, guides ou newsletters capables de séduire vos lecteurs et de nourrir votre stratégie SEO à long terme.

En résumé :

  • Le SEA attire,
  • le SEO fidélise,
  • et le contenu engage.

Pourquoi Google privilégie le contenu de qualité

Google ne lit pas les textes comme nous. Il les analyse. Il mesure leur structure, la richesse du vocabulaire, la clarté, le temps passé par les lecteurs dessus, les partages sur les réseaux sociaux, et même la fréquence des mises à jour. En bref, il cherche à savoir : « Ce contenu est-il réellement utile à quelqu’un ? »

Le moteur de recherche a un objectif simple : fournir la meilleure réponse à la requête de l’internaute. Si votre contenu résout un vrai problème, s’il est agréable à lire et bien organisé, il sera naturellement mis en avant. Mais s’il est trop court, creux, répétitif ou mal structuré, Google le relèguera loin derrière… même s’il contient tous les bons mots-clés du monde.

C’est pour cela que le SEO, contrairement à ce qu’on croit, ne repose pas sur des “trucs et astuces”, mais sur une logique de qualité et de cohérence.

Les trois piliers du référencement naturel

Pour bien comprendre le fonctionnement du référencement, imaginez votre site web comme une maison :

La technique : c’est la structure, les fondations.

  • Un site rapide, bien codé, avec des balises claires (Title, H1, H2…), un maillage interne cohérent et une bonne compatibilité mobile.
  • Sans ça, même le meilleur contenu du monde s’effondre : Google n’a pas envie de “visiter une maison bancale”.

Le contenu : c’est le cœur, l’âme de votre site.

  • Il doit être pertinent, complet, bien rédigé et répondre précisément à l’intention de recherche des internautes.
  • Plus il est riche, structuré et engageant, plus Google comprendra que vous êtes un expert crédible sur votre sujet.

La popularité : c’est la réputation de votre maison.

  • Plus d’autres sites parlent de vous (et surtout des sites eux-mêmes réputés), plus Google vous considère comme fiable.
  • Ces “votes de confiance” s’appellent des backlinks, et ils ont un poids énorme dans votre positionnement.

Ces trois piliers fonctionnent ensemble. Si l’un d’eux s’écroule, tout votre référencement vacille.

Mini étude de cas : Geoplanete, ou l’exemple d’un SEO intelligent

Prenons un exemple concret avec Geoplanete, un site e-commerce spécialisée dans la vente de matériel dédié aux énergies renouvelables. Avant d’optimiser ses contenus, leur blog peinait à se faire remarquer sur Google. Les articles étaient intéressants, mais pas forcément construits pour répondre à des requêtes précises. Résultat : beaucoup d’efforts rédactionnels… pour très peu de visibilité.

Avec Dokey, Geoplanete a retravaillé ses textes en s’appuyant sur une analyse de mots-clés stratégiques et sur les questions réellement posées par les internautes. L’objectif : aligner chaque article sur une intention claire (“suivi de flotte”, “géolocalisation véhicules utilitaires”, etc.) tout en structurant les contenus selon les bonnes pratiques SEO (H1, H2, maillage interne, longueur optimale, etc.).

Le résultat ?

  • +130 % de trafic organique en quelques mois,
  • un meilleur taux de conversion,
  • et surtout, des contenus plus clairs, plus utiles, et plus visibles.

La différence entre “avant” et “après” est flagrante :

  • Avant, Google voyait un texte sans structure claire ni signaux forts de pertinence.
  • Après, il voit un contenu cohérent, riche sémantiquement et bien relié au reste du site.

Cet exemple montre que le SEO n’est pas une question de volume, mais de stratégie. Un texte bien ciblé, bien construit et pensé pour l’utilisateur aura toujours plus d’impact qu’un article long mais flou.

Résultats SEO Geoplanete : augmentation des indicateurs de performance
Comment Geoplanete a décuplé son trafic organique grâce à une stratégie SEO sur-mesure réalisée par Dokey

Optimisez votre contenu et votre texte

La première chose à faire est de vérifier si votre texte répond aux trois règles principales :

Est-il unique ? Sur Google, le contenu dupliqué est probablement la pire chose que vous puissiez faire pour votre site, Google sanctionne fortement les sites qui font du copier-coller ou qui publient des contenus déjà parus (vous risquez parfois même la désindexation). Vous pouvez vous inspirer de ce que font vos concurrents mais jamais les copier, ajoutez-y votre plume et votre style , ne tombez pas dans le piège du copier-coller facile.

Est-il de qualité ? Si vous avez rédigé votre article sur le coin d’une table, à deux heures du matin et en 15 minutes, il y a fort à parier que celui-ci n’est pas d’une très bonne qualité et qu’il ne va intéresser personne (à moins que vous soyez Balzac, ce qui est peu probable vous me l’accorderez, mais sait-on jamais). Il vaut mieux moins publier plutôt que de poster régulièrement des articles écrits à la va-vite, car Google est loin d’être bête, et il sait reconnaître ceux qui captivent les internautes, et ceux qui les font fuir (par exemple si vous avez un fort taux de rebond sur la page de cet article, les robots de Google vont comprendre qu’il n’intéresse pas les lecteurs, que l’expérience utilisateur est par conséquent mauvaise, ce qui est une catastrophe pour votre référencement).

Apporte-t-il quelque chose à ceux qui le lisent ? Vos sujets doivent apprendre des choses intéressantes à ceux qui les lisent, donc apporter une vraie valeur ajoutée, sinon vous ferez simplement partie du paysage des trop nombreux sites qui font du vu et revu. Même si vous rédigez des articles sur un sujet qui a déjà été traité des centaines de fois, même par vos plus gros concurrents, vous pouvez le rendre meilleur simplement en y ajoutant votre style, votre petite touche à vous. Il faut que votre contenu réponde aux questions que se posent les utilisateurs (ce qui contribuera également à les attirer si vous utilisez une question pertinente comme titre). Vous pouvez pour cela regarder sur Google les suggestions de recherches dans la barre de recherches, ainsi que les questions fréquemment posées en bas de page. Une autre option est d’utiliser Dokey ou Anwer The Public, deux outils qui vous permettent de trouver les questions que se posent les internautes.

Votre texte doit aussi être concis, bien structuré et facilement compréhensible.En règle générale, un article SEO doit faire au minimum 800 mots (la norme se situe entre 800 et 1200 mots), mais vous pouvez en faire plus si vous avez beaucoup de choses à dire, cela ne vous pénalisera pas, au contraire !

Aujourd’hui, il est tout à fait possible de s’appuyer sur l’intelligence artificielle pour améliorer sa rédaction SEO — à condition de se rappeler qu’elle doit assister, et non remplacer. L’assistant SEO de Dokey illustre parfaitement cette philosophie. Conçu avec l’expertise d’une doctorante en traitement du langage naturel (NLP), il ne se contente pas d’empiler des mots-clés : il comprend le sens, la structure et les intentions de recherche derrière chaque texte.Son rôle est d’accompagner le rédacteur dans la construction d’un contenu à la fois fluide, pertinent et bien positionné. Dokey ne remplace pas la plume humaine — il la soutient. Cette approche collaborative et non destructive permet d’obtenir le meilleur des deux mondes : la créativité et la sensibilité du rédacteur, alliées à la puissance analytique de l’IA. Résultat : des textes plus performants, plus lisibles, et surtout, toujours profondément humains.

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Structurez votre texte

Structurer votre texte présente deux avantages, le premier est que vos lecteurs n’auront pas à plisser les yeux pendant 10 minutes de lecture à cause d’un texte mal écrit et mal structuré (donc que l’UX, l’expérience utilisateur, sera bonne), et le deuxième est que Google va lui aussi comprendre votre site beaucoup plus rapidement, et donc mieux vous indexer.

Concrètement, comment on structure son texte ?

La balise Title et les balises H1, H2 et H3 sont les éléments principaux qui structurent votre texte. Elles permettent d’afficher vos titres selon un ordre précis, de mettre en exergue les mots-clés intéressants.

La balise Title, c’est celle qui apparaît dans les recherches Google, c’est souvent la même que la balise h1 ou quasiment, car elle ne doit pas dépasser 70 caractères.

La balise H1, c’est tout simplement le titre de votre article, celui qui apparaît en gros. Les balises suivantes h2, h3 etc… marquent vos titres secondaires, très souvent les titres de votre plan :

Enfin la Méta Description est le texte sous la balise Title, qui vous permet de décrire plus précisément à votre internaute de quoi vous parlez, elle est très efficace pour les commerces qui vendent des produits car vous pouvez y intégrer les qualités / bénéfices clés de ceux-ci :

Soignez l’expérience de lecture : l’UX, l’alliée silencieuse du SEO

Vous pouvez avoir le meilleur contenu du monde, avec des mots-clés bien placés et des balises parfaitement optimisées… mais si votre texte est indigeste, votre lecteur fermera l’onglet avant même la fin du premier paragraphe. Et devinez quoi ? Google le verra.

L’UX, ou expérience utilisateur, joue un rôle majeur dans le référencement. Le moteur de recherche mesure des indicateurs comme le temps passé sur la page, le taux de rebond, ou la facilité de navigation. En clair : si vos visiteurs lisent votre article avec plaisir, Google en déduit que votre contenu est utile — et vous récompense.

Les bases d’un texte agréable à lire

  • Des phrases courtes et simples. En ligne, on ne lit pas, on scanne. Un texte fluide, avec des phrases de 15 à 20 mots, aide le cerveau à suivre le fil sans effort.
  • Des paragraphes aérés. Évitez les blocs de texte massifs : chaque idée mérite sa respiration.
  • Des listes à puces. Elles structurent visuellement vos arguments et rendent la lecture instantanément plus claire.
  • Des intertitres explicites. Oubliez les titres vagues : chaque H2 ou H3 doit donner envie de poursuivre, tout en annonçant clairement le contenu à venir.

Le confort visuel : un détail qui change tout

Pensez à varier les formats pour rythmer la lecture :

  • Des emojis pour adoucir le ton (sans en abuser ).
  • Des visuels ou illustrations pour soutenir vos idées.
  • Des tableaux comparatifs ou encadrés pour mettre en avant un chiffre clé, une citation ou un conseil rapide.
  • Et surtout, une mise en page claire, avec une typographie lisible et un bon contraste entre le texte et le fond.

Un contenu bien structuré, agréable à lire et visuellement équilibré est non seulement plus engageant, mais aussi mieux compris par Google. Parce qu’un bon SEO, c’est avant tout une bonne expérience de lecture — pour les robots, et surtout pour les humains.

L’art d’écrire pour Google sans oublier les humains

On l’oublie souvent, mais écrire pour le web, c’est un peu comme un jeu d’équilibriste : il faut séduire à la fois Google et son lecteur. Trop de technique, et votre texte devient froid et artificiel. Trop d’émotion, et il sera peut-être passionnant… mais invisible. La clé, c’est de comprendre l’intention de recherche qui se cache derrière chaque mot tapé sur Google.

Comprendre les intentions de recherche : la base de tout bon contenu

Chaque requête saisie sur Google répond à un besoin précis. On distingue généralement trois grands types d’intentions :

  • Informationnelle : l’internaute cherche une réponse ou une explication. Exemple : “comment choisir ses baskets” ou “qu’est-ce qu’un contenu SEO ?”. Votre objectif ici est d’éduquer, d’apporter de la valeur, et de devenir une ressource fiable.
  • Navigationnelle : il sait déjà où il veut aller. Exemple : “Dokey blog” ou “outil Semrush login”. Vous n’avez pas besoin de convaincre, mais de rendre l’accès fluide et intuitif.
  • Transactionnelle : il est prêt à passer à l’action (acheter, s’inscrire, réserver). Exemple : “acheter baskets femme” ou “abonnement Dokey mensuel”. Ici, votre texte doit rassurer, convaincre et guider vers la conversion.

Savoir à quelle catégorie appartient la requête vous permet d’adapter non seulement le ton, mais aussi la structure, le vocabulaire et les appels à l’action.

Adapter son ton et ses mots-clés selon le besoin du lecteur

Prenons un exemple concret :  “Acheter baskets femme” et “Comment choisir ses baskets” parlent du même produit, mais à deux étapes différentes du parcours client.

Le premier traduit une intention d’achat : on veut un texte clair, descriptif, rassurant, avec des arguments concrets, des avis clients et des mots-clés orientés conversion. Le second, en revanche, traduit une intention d’information : on cherche un guide, des conseils, un contenu expert et rassurant — exactement comme dans ton article “Comment choisir le bon mot-clé principal pour une page SEO ?”

C’est cette capacité à se mettre à la place du lecteur qui distingue un contenu SEO performant d’un simple texte “rempli de mots-clés”.

Combien de mots écrire pour un article de blog SEO ?
Les bonnes pratiques en termes de longueur de texte pour le SEO.

Les zones stratégiques pour placer vos mots-clés

Les mots-clés doivent être positionnés avec logique et parcimonie :

  • Dans le titre principal (H1), pour indiquer immédiatement le sujet.
  • Dans le premier paragraphe, pour contextualiser.
  • Dans les H2/H3, pour renforcer la cohérence sémantique.
  • Et dans la conclusion, pour boucler naturellement la boucle.

L’objectif n’est pas de les répéter mécaniquement, mais de les intégrer naturellement dans le discours. Google valorise désormais la richesse lexicale et la pertinence contextuelle bien plus que la simple répétition.

Attention à la sur-optimisation : la règle d’or du E-E-A-T

Depuis plusieurs années, Google évalue les contenus selon quatre grands critères, regroupés sous le sigle E-E-A-T :

  • Experience : démontrez que vous avez une vraie expérience du sujet.
  • Expertise : appuyez vos propos sur des données, exemples ou études crédibles.
  • Authoritativeness : montrez que votre site (ou marque) fait autorité dans son domaine.
  • Trustworthiness : inspirez confiance (sources citées, ton sincère, absence de promesses trompeuses).

Autrement dit : un bon texte SEO n’est pas celui qui “piège l’algorithme”, mais celui qui crée de la confiance — auprès des lecteurs et de Google.

Optimisez aussi vos médias : les images parlent à Google

Le SEO, ce n’est pas que des mots. Chaque image, chaque vidéo, chaque visuel présent sur votre page peut lui aussi influencer votre positionnement. Trop souvent négligés, ces éléments visuels sont pourtant essentiels à la fois pour l’expérience utilisateur et pour le référencement naturel.

Pourquoi optimiser vos images est crucial

Une image trop lourde peut ralentir considérablement le temps de chargement d’une page. Et un site lent, c’est le pire cauchemar du SEO. Google privilégie les pages rapides, car un internaute impatient quitte un site en moins de trois secondes si le contenu met trop de temps à apparaître. La solution ?

  • Compressez vos fichiers avant de les importer (sans perdre en qualité).
  • Préférez le format WebP, plus léger et moderne que les classiques JPEG ou PNG.
  • Vérifiez la vitesse de votre site sur PageSpeed Insights ou GTmetrix pour identifier les points d’amélioration.

Astuce : vous pouvez réduire le poids de vos images avec des outils gratuits comme TinyPNG, Squoosh ou Imagify.

Nommer et baliser intelligemment vos visuels

Chaque image est une opportunité supplémentaire d’être trouvée sur Google Images… à condition d’être bien nommée. Avant d’importer votre visuel, oubliez les “IMG_1234.jpg” et préférez un nom descriptif du type : chaussures-cuir-femme-noir.jpg ou guide-redaction-seo-dokey.webp.

Ensuite, prenez le temps d’ajouter :

  • Une balise ALT : elle décrit l’image pour les moteurs de recherche (et pour les lecteurs malvoyants). Intégrez-y vos mots-clés naturellement, sans en abuser.
  • Un titre d’image : c’est le texte qui apparaît au survol de la souris.
  • Une légende : elle aide le lecteur à comprendre le contexte du visuel, tout en enrichissant le contenu de votre page.

Des médias bien optimisés, un SEO plus fort

Des images légères, bien nommées et balisées permettent à Google :

  • de comprendre le sujet de votre page,
  • d’améliorer votre classement,
  • et même de vous faire remonter dans Google Images, une source de trafic souvent sous-estimée.

Pensez-y comme à une double récompense : une meilleure expérience de lecture pour vos visiteurs, et une meilleure visibilité pour votre contenu. Parce qu’au fond, même si Google ne “voit” pas les images, il sait très bien les lire — à condition que vous lui en donniez les bons indices.Dokey pour vous aider dans la rédaction de vos articles :

Et si vous pouviez éviter toutes ces erreurs dès la phase d’écriture ?

C’est exactement ce que permet un outil comme Dokey. En vous guidant pas à pas sur la structure idéale, les mots-clés pertinents, la longueur optimale et la lisibilité de votre texte, Dokey vous aide à produire des contenus SEO solides dès le premier jet. Plus besoin de deviner ce que Google attend : la plateforme analyse les meilleures pratiques de vos concurrents, mesure votre performance en temps réel et vous indique précisément ce qu’il faut améliorer. Résultat : des articles mieux positionnés, plus cohérents et plus crédibles, sans avoir à passer des heures à corriger après publication. Parce qu’en SEO, le vrai secret n’est pas d’en faire trop… mais de le faire juste, efficacement, et durablement.

Les 8 péchés capitaux de la rédaction SEO
Les erreurs à éviter pour la production de contenu sur votre site.

Dokey est un outil de rédaction SEO très intuitif et facile d'utilisation. Il vous permet de trouver dans un premier temps sur quels mots-clés / requêtes vous placer pour rédiger vos articles, puis de lancer une recherche sur ces mêmes mots-clés / requête pour la préparation de votre environnement de travail (Dokey réalise une analyse de vos concurrents, des mots clés pertinents à utiliser dans votre texte, dans vos balises titles, et vous propose des titres et des questions qui intéressent les internautes).

Une fois l’analyse de mots-clés terminée, vous pouvez directement commencer la rédaction de votre article. Un score s’affiche en haut à droite pour vous permettre de suivre l’évolution de la qualité de votre article en termes de mots-clés, de balises h1, h2…

L’outil vous indique également quels éléments sont à améliorer : vos titres, vos en-têtes ou votre texte, avec un score propre à chacun de ces points; et vous propose également des PAA (People Also Ask), pour placer des questions pertinentes dans votre texte.

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A bientôt pour un prochain guide et bonne rédaction sur Dokey !